Caterina Pavese, Ph.D.

Immigrant children’s academic performance suffers particularly when their class at school has a large number of low performers. This applies to pupils who come from a disadvantaged background, have a lower level of academic achievement, do not speak the local language at home, or whose parents were both born abroad. These are findings of researchers from the ifo Institute and the University of Milano-Bicocca based on data from Italy.

Les enfants d’immigrés obtiennent de moins bons résultats lorsqu’ils sont dans une classe comprenant de nombreux élèves en difficulté. Ce constat est observé chez les élèves issus de milieux défavorisés, ceux qui ont un faible niveau sco-laire, qui ne parlent pas la langue du pays d’accueil à la maison ou dont les deux parents sont nés à l’étranger. En revanche, la proportion d’élèves en difficulté n’a pas d’effet négatif sur les enfants de migrants plus favorisés. C’est le résultat de l’étude réalisée par les chercheuses de l’Institut ifo et de l’université de Milan-Bicocca sur la base de données provenant d’Italie.